Marie et Augustin, fondateurs de Tranché, avaient une ambition simple : moderniser la boulangerie de quartier, sans jamais renier les méthodes artisanales. Un équilibre rare, mais indispensable pour conjuguer passion et performance.
"Tranché, c’est né de notre passion pour l’artisanat et notre volonté de bousculer un peu les codes de la boulangerie."
Avec quatre boutiques et d'autres ouvertures en vue, ils ont fait un choix clé : s'appuyer sur la technologie pour piloter leur croissance.
30% du chiffre d'affaires... en espèces
Ce que beaucoup ignorent, c’est que dans une boulangerie, la carte bancaire ne règne pas en maître. Chez Tranché, entre 20 et 30% des ventes se font encore en liquide. Un cauchemar à gérer pour qui veut avoir une vision claire des marges.
"Le monnayeur est devenu essentiel. Sans lui, c'est des erreurs, du temps perdu, et beaucoup d'incertitudes."
La technologie comme levier silencieux
Marie et Augustin ne sont pas "geeks", mais ils savent que la clé pour durer passe par de bons outils. Leur caisse ? Connectée à leur compta, RH, ERP. Leurs ventes ? Suivies en temps réel. Leurs marges ? Calculées, pilotées, corrigées.
En coulisses, c'est Innovorder qui structure cette gestion. Une solution intégrée, certes. Mais surtout un partenaire qui comprend les réalités du terrain.
Grandir sans perdre le fil
Ce que Tranché veut prouver, c'est qu'on peut être artisan exigeant et entrepreneur aguerri. Que la technologie, loin de déshumaniser, permet de passer plus de temps sur l'essentiel : le produit, l'équipe, le client.
"Être artisan moderne, c’est ne pas avoir peur de se faire aider par la tech."
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